Le rapport sur les Dépenses de santé rédigé chaque année par la DREES a récemment livré ses données pour l’année 2019. La presse s’en est largement fait l’écho, mettant en exergue la baisse régulière du Reste A Charge des ménages (RAC) , passée de 9% en 2010 à 6,9% en 2019. Même si cette baisse peut paraitre somme toute modeste – puisque nous sommes passés de 7,0 % en 2018 à 6,9 % en 2019 – le RAC n’en demeure pas moins un indicateur clé de la qualité d’un régime de complémentaire santé d’entreprise, scruté à la loupe aussi bien par les DRH, que les organisations syndicales et les collaborateurs.
Le rapport sur les Dépenses de santé rédigé chaque année par la DREES a récemment livré ses données pour l’année 2019. La presse s’en est largement fait l’écho, mettant en exergue la baisse régulière du Reste A Charge des ménages (RAC) , passée de 9% en 2010 à 6,9% en 2019. Même si cette baisse peut paraitre somme toute modeste – puisque nous sommes passés de 7,0 % en 2018 à 6,9 % en 2019 – le RAC n’en demeure pas moins un indicateur clé de la qualité d’un régime de complémentaire santé d’entreprise, scruté à la loupe aussi bien par les DRH, que les organisations syndicales et les collaborateurs.
La loi PACTE a posé le cadre d’une nouvelle génération d’épargne retraite et d’un PER Unique qui facilitent la gestion de l’épargne retraite par les salariés comme par les entreprises. Si le PER Unique a le mérite d’être séduisant, il n’en demeure pas moins que la fin de la discrimination hommes/femmes (et de l’utilisation des tables de mortalité par sexe) impacte directement le montant de la rente viagère pour l’effectif masculin. Et ce, à cotisation égale. Un vrai sujet à étudier avant de se lancer dans la mise en place d’un PER Unique sous peine d’être confronté à une incompréhension de la part de vos collaborateurs masculins…